Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 07:27

Si l'on y met un salarié,  c'est forcément
Pour l'écarter un temps de l'établissement
Quant à ceux qui le prennent, c'est le leur
Pour leur plus grand bonheur
Il y en a aussi qui les comptent sur leurs doigts
Pour écrire comme il se doit, comme autrefois
Il y en a aussi qui sont obligés de le lever
Au risque de ne plus jamais pouvoir se lever
Et ceux qui n'arrivent plus à en mettre un devant l'autre
Ce sont, il faut l'avouer, de bien drôles d'apôtres
N'oublions pas ceux qui  perdent malheureusement

Ils connaissent alors les plus grands tourments
En revanche, ceux qui mènent grand train
Sont sur un grand mais gare aux lendemains
Je ne voulais nullement vous faire marcher

Même si vous ne saviez plus sur lequel danser...

Partager cet article
Repost0

commentaires

A
<br /> pas a pas j'ai suivi ta poesie...quel pied...bises et bonne soiree luzifer...<br />
Répondre
E
<br /> Comme c'est bien dit !<br />
Répondre
P
<br /> Un amusant poème qui me rappelle les poèmes de Jacques Prévert...<br />
Répondre
P
<br /> Point besoin de trépied ou de marchepied pour élever le marcheur à pied..(s) sur un piedestal..dans la région de Piètad ?..pardi , pourquoi pas  !<br />
Répondre
M
<br /> certain retombent toujours sur leur pieds  mais il faut un bon équilibre loll<br /> <br /> <br />  bonne  fin de journée pour toi<br /> <br /> <br />  kénavo Luzy<br />
Répondre